_Thérapie enfants-

                    Maria Vaz    - Psycho praticien  -                                                    Centre de santé de                                                La Garenne-Colombes, 5 bis rue du Transvaal

"L'enfant est une personne" Francoise Dolto

THERAPIE.COM

Approche humaniste centrée sur la personne, basée sur l’écoute et la proposition d’outils visant l’amélioration d’un mieux être avec soi et avec les autres.

 

L'approche avec l'enfant est analytique mais elle est à différencier de celle de l'adulte car le langage n'est pas forcément son mode de communication.

 

Elle sera donc centrée sur le jeu car le jeu constitue l'activité principale de l'enfant. 

L'échange verbal  sera de mise bien entendu.

 

L'accompagnement des parents est fondamentale.

L'enfant ne lâchera ses symptômes que si ses parents autorisent ce changement.

La thérapie individuelle pour enfant

La thérapie pour enfant est différente de celle d'un adulte.

Elle vise à son mieux être et à la disparition de ses symptômes mais elle se présente différemment.

 

L'approche passe certes par la parole mais essentiellement par le jeu (Dessins, jeux de rôles où l'enfant met en scène son univers), EFT (technique de libération des émotions, des peurs et des phobies par le taping sur certains points d'acupuncture), marionnettes...

A travers le jeu, l'enfant apaise ses angoisses, donne du sens  aux expériences qu'il fait, imagine un nouveau monde et enrichit la réalité.

 

Le jeu symbolique ou jeux de rôles sont une activité créative où l'enfant incarne des personnages réels et fictifs où à l'aide de supports poupées, figurines, marottes qu'il met en scène selon un scénario qui lui est propre. 

Il va imaginer  ou partir de faits réels (imitations) et ces jeux  vont lui permettre d'en retirer un bénéfice psychologique.

 

Mes compétences dans le domaine théâtral permettent cette approche ludique afin de favoriser chez l'enfant l'expression de ses angoisses ou de ses peurs face à un évènement ou une situation qui le dérange.

 

Toute expression artistique vise à faire émerger ce qui est dans notre for intérieur, toutes ses émotions ou sentiments refoulés. C'est un acte symbolique qui permet d'extérioriser ce qui se passe en nous.

L'enfant y est sensible car il est dans la création, il nous raconte une histoire, son histoire, il exprime ce qui le touche en verbalisant (jeux de rôles) ou sans les mots (dessin, peinture...)

 

L'enfant, un être à part entière...

 

L'enfant est un être à part entière qui oscille entre plusieurs émotions.

Il connaît lui aussi ses phases d'angoisses, de peurs, de sautes d'humeur, les petits tracas de la vie quotidienne.

A la différence des adultes, il n'a pas toujours les mots pour les dire.

Conséquence, il va développer des symptômes qui vont parler de son mal être.

 

Les symptômes récurrents:

 

Cauchemars, l'énurésie, anxiété, peurs, troubles du langage, troubles de l'humeur, phobies scolaires, sociales, troubles de l'alimentation, troubles du sommeil, troubles anxieux,  irritabilité, comportements agressifs, dépréssion infantile..

 

Le ressort primordial dans la relation enfant- parent est le lien d'amour qui se tisse entre eux.

 

Donner de l'amour à un enfant est un essentiel qui prévaut sur toutes les théories.

 

En effet, l'aspect affectif (affection, câlins, bienveillance tendresse, compréhension, qualité des échanges...) est la clé de vôute d'une construction solide pour l'enfant dès son plus jeune âge.

 

On ne naît pas parents on le devient...

 

La confidentialité et le secret professionnel engage le thérapeute à ne divulguer aucune information que l'enfant ne souhaite pas transmettre.

C'est l'enfant qui me dira s'il souhaite  à l'issue de notre rencontre que je communique des informations à ses parents ou au personnel éducatif ou médical.

 

 

 

Qui suis-je?

Je suis comédienne, formatrice et coach.

Psycho praticien certifiée,  formée à l'institut Cassiopée pour travailler en accompagnement thérapeutique avec des adultes, ados et enfants.

 

Mon approche s'inspire fondamentalement de la pensée humaniste de Carl Rogers (Psychologue humaniste) fondateur de la psychothérapie en face à face , Carl Gustav Yung (médecin psychiatre) fondateur de psychologie analytique et une approche Freudienne (théorie du conscient et inconscient, refoulement, notion de transfert, théorie des pulsions infantiles, analyse des rêves...)

et Eric Berne (médecin psychiatre) fondateur de l'analyse transactionnelle  

L’analyse transactionnelle 

 adhère au courant humaniste qui postule la nature fondamentalement positive de l’être humain, sa capacité à faire des choix et à les assumer, elle utilise un langage simple et accessible.


Le cadre de sa pratique est contractuel, c’est-à-dire que le lien entre l’accompagnant et l’accompagné est basé sur la libre négociation et acceptation d’un contrat préalable, clair qui responsabilise chacun quant au travail à mener et aux objectifs à atteindre.

L’analyse transactionnelle est une théorie de la communication,de la personnalité et des relations interpersonnelles et de groupe.

Apprendre à mieux se comprendre pour mieux communiquer avec soi et les autres.

 

Le fil rouge de la pensée et de la pratique de ces 4 hommes est fondé sur le pouvoir créateur et libérateur de la parole.

Il s'agit en somme d'oser regarder à l'intérieur de nous nos parts d'ombre, les accepter,  pour accepter un changement possible et briser le cercle infernal de la répétition et laisser surgir les parties lumineuses de la personnalité.

Les défauts ne sont-ils pas des qualités qui s'ignorent? 

 

THERAPIE.COM Troubles récurrents chez l'enfant...

Communiquer avec son enfant

Pour établir une bonne communication avec votre enfant:

Privilégier un environnement calme et sans distractions. .

Choisir un moment où votre enfant est disponible. L’heure du repas et la routine du coucher peuvent être des moments propices à la discussion, pourvu qu’on évite les sujets qui risquent de perturber l’enfant.
Être bref et clair.  utilisez un niveau de langage adapté à son développement. Privilégiez des mots simples et des phrases courtes. Évitez aussi les longs sermons.
Être attentif au non-verbal. Par son attitude et ses gestes, votre enfant vous envoie des messages qui peuvent vous aider à mieux entrer en relation avec lui. 
Utiliser le « je » plutôt que le « tu ». Cela évitera que votre enfant se sente critiqué. 
Avoir une attitude respectueuse. Il faut éviter de faire des reproches à son enfant ou de généraliser en utilisant des mots comme « toujours » ou « jamais ».
Se montrer ouvert. Si vous n’êtes pas d’accord avec votre enfant, faites-lui comprendre

Ne portez pas de jugement. Toutefois, expliquez-lui les valeurs qui sont importantes dans votre famille et qu’il doit respecter.

Peurs chez l'enfant

 

 

La peur est l’une des grandes émotions de base que nous ressentons, une réaction automatique de notre cerveau qui fait réagir tout notre corps. La peur, qui a pour fonction primordiale de nous alerter d’un état de danger, d’une menace, est d’abord physiologique avant d’être psychologique.

 

Une peur représente un élément dans l’environnement de l’enfant qui lui est inconnu et qu’il ne sait pas comment affronter. Par exemple, il ne sait pas quoi faire s’il imagine un monstre qui sort de sous son lit ou s’il s’inquiète de la première fois où il ira chez le dentiste.

 

Voici quelques peurs fréquentes selon l’âge de l’enfant :

 

De 0 à 8 mois :     8 mois angoisse de séparation (peur des étrangers, peur de l’abandon).

De 9 mois à 1 an :

peur des bruits (aspirateur, téléphone, mélangeur, etc.).

Certains enfants sont naturellement plus craintifs que d’autres : ça fait partie de leur tempérament.

De 1an à 18 mois : peur des monstres ou de la noirceur. Alors qu’il dormait avant les lumières éteintes et la porte fermée, il demande maintenant de garder la porte entrouverte parce qu’il se sent en danger.

De 2 à 4 ans : peurs passagères : gros animaux, surtout s’il n’y en a pas à la maison, orages, clowns, père Noël, créatures imaginaires telles que les sorcières, les fantômes ou les robots. Elles peuvent survenir en raison de la peur de l’inconnu ou par la réaction excessive des autres dans certaines situations.     De 5 à 12 ans : peurs associées à un objet ou à une situation particulière (insectes, voleurs et kidnappeurs, médecins et dentistes, peur du vide, des accidents). L’enfant peut aussi avoir peur des catastrophes naturelles ou de la guerre, après avoir vu des images d’actualités troublantes à la télévision. C’est aussi l’âge des premières peurs sociales (être rejeté à l’école, prendre la parole en public, etc.). Celles-ci se rapprochent d’ailleurs de celles des adultes.

 

Attitudes à avoir:

 

Toujours prendre au sérieux la peur d'un enfant

 

Favoriser l'expression de ses émotions

 

Lui parler de vos propres peurs

 

Renforcer son courage face à des peurs qu'il a pu surmonter

 

L'EFT technique de libération émotionnelle est adaptée aussi aux enfants qui intégrent très vite les gestes à effectuer

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Enfant anxieux

L’anxiété chez l’enfant est difficile à distinguer de l’anxiété accompagnant la phase de développement.

Il est normal que l’enfant éprouve de l’anxiété dans une certaine mesure, car beaucoup de choses changent durant l’enfance. Il ne fait pas de doute que l’on éprouve de l’anxiété à la puberté, mais les tout-petits aussi éprouvent de l’anxiété, par exemple, sous forme de peur des étrangers.

Il n’est donc pas toujours facile de savoir quand il est question d’anxiété excessive et quelle approche adopter en tant que parent. Pour vous y aider, cet article présente ce qu’est l’anxiété normale et à partir de quand l’anxiété devient un trouble. Nous vous informons en outre de ce en quoi consiste un traitement de l’anxiété chez l’enfant.

Qu’est-ce qu’une anxiété normale chez l’enfant ?

En fonction des différentes phases du développement, il existe des formes normales d’anxiété qui vont de pair avec la phase dans laquelle se trouve votre enfant. Vous trouverez ci-dessous des exemples d’anxiété normale chez l’enfant par tranche d’âge.

De 0 à 6 mois, il est normal pour l’enfant d’être anxieux lors de bruits forts, de rapprochements soudains d’autres personnes ou de perte de soutien.

De 6 mois à 1 an, il est normal pour l’enfant d’être anxieux devant une hauteur et/ou une profondeur, des personnes ou objets inconnus, mais l’angoisse d’être séparé d’un parent peut aussi déclencher de l’anxiété.

De 1 à 2 ans, l’enfant peut être anxieux face à des choses provenant de la nature, comme une tempête ou une grosse vague.

De 2 à 4 ans, l’enfant est souvent anxieux à l’idée de toucher un animal ou à la vue du sang.

L’enfant de 4 à 6 ans peut être anxieux à l’idée de dormir dans le noir, de monstres ou si on change quelque chose au niveau de son corps (s’il doit par exemple aller chez le médecin ou se faire couper les cheveux).

Entre 6 et 12 ans, l’enfant est souvent anxieux à l’idée d’être jugé par ses semblables. Entre alors en jeu la peur de l’échec, plus intense. En outre, un enfant de cet âge commence à anticiper les événements négatifs. Il pense par exemple à ce qu’il devrait faire si ses parents se séparaient.

Le jeune de 12 à 18 ans continue à être anxieux à l’idée d’être jugé par ses semblables, mais à présent encore plus par l’autre sexe. L’anxiété se manifeste surtout face aux dangers qui n’ont rien à voir directement avec l’enfant, comme une guerre.

Quand parle-t-on de troubles anxieux chez l’enfant ?

On parle d’anxiété excessive chez l’enfant si cet enfant est constamment anxieux dès son plus jeune âge. Une certaine forme d’anxiété chez l’enfant est normale, mais si elle se manifeste trop souvent et commence à dominer sa vie, il est question de troubles anxieux.

Dans ce cas, votre enfant a du mal à garder le contrôle de lla situation. Votre enfant peut aussi, au bout d’un moment, se mettre à éviter certaines situations. Bien que votre enfant sache peut-être qu’il ne doit au fond pas être anxieux, il ne peut pas se tranquilliser.

Symptômes de troubles anxieux chez l’enfant ?

Si les critères ci-dessous sont remplis, on peut parler d’une forme excessive d’anxiété chez l’enfant et donc de troubles anxieux si les symptômes persistent longuement :

Votre enfant éprouve un niveau d’anxiété constant et même de panique.
L’anxiété va mener à un comportement d’évitement, ce qui peut, à la longue, entraîner des troubles dépressifs.


*Votre enfant est constamment tendu et nerveux.
*Votre enfant est épuisé du fait de la tension et de l’anxiété constantes.
L’anxiété laisse peu d’énergie pour les activités quotidiennes. *Votre enfant est donc souvent fatigué et, de ce fait, certaines tâches ne peuvent plus être accomplies.
*Votre enfant éprouve souvent des crampes.
*Votre enfant souffre de troubles du sommeil.
*Votre enfant ne peut plus se concentrer correctement.
*Votre enfant réagit souvent de façon colérique.
*Votre enfant recherche beaucoup d’apaisement dans son entourage.

L’anxiété chez l’enfant peut donc être très épuisante et influencer l’enfant de façon disproportionnée. Tous les domaines de la vie de l’enfant peuvent en pâtir.

Traiter l’anxiété chez l’enfant ?

L’anxiété chez l’enfant peut être traitée. Il existe différents organismes à cet effet. En fonction de l’âge, diverses dispositions doivent être prises pour combattre l’anxiété chez l’enfant. 

Source les 15min.com

Parentalité bienveillante

Etablir des règles en impliquant l’enfant positivement

Definir des règles de la vie familiale et les formuler clairement est essentiel pour aider l’enfant à se construire et à apprendre le respect des autres. « Il faut avant tout veiller à avoir un discours cohérent avec son conjoint et éviter d’avoir des attentes contradictoires à l’égard de l’enfant », explique Arnaud Riou, auteur de Pour une parentalité bienveillante*. L’idéal étant de « donner des consignes plutôt que des ordres et de les formuler de manière positive, plutôt que lister les interdits », indique la psychologue, Isabelle Filliozat, auteur de J’ai tout essayé**. Un avis partagé par Arnaud Riou : « Il faut autant que possible passer par le plaisir, en faisant comprendre à l’enfant quel est son intérêt secondaire de respecter une règle fixée ».

Exemple : au lieu d’ordonner à un enfant de se brosser les dents, sous peine d’être privé d’histoire, il vaut mieux formuler les choses de manière positive, en lui disant « si tu te brosses les dents, on aura le temps de lire une histoire », conseille Charlotte Ducharme dans son ouvrage Cool parents make happy kids

source/Delphine Bancaud

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